Mademoiselle Lilly : toi, mon Amour

J’avais 22 ans des rêves plein la tête et d’ambition, ce soir là je t’ai rencontré. Dans ce petit resto, rue de Marcinelle, tu as changé ma vie et chamboulé mon coeur. Les années ont passé, bientôt 16 ans de mariage et trois enfants plus tard.

C’est quoi l’amour avec un grand A?

C’est d’abord et sûrement beaucoup de patience: de l’amour, du partage, de la tolérance; savoir s’effacer quand on le doit, tirer l’alarme quand il le faut, aimer sans rien attendre. Quand je regarde autour de moi et que je vois tous ces gens qui se séparent, c’est vrai, j’ai du mal à comprendre parce qu’eux aussi se sont aimés.

J’ai su le premier jour que je t’aimais et après 15 jours que j’allais devenir ta femme même si 10 ans nous séparaient. Cette certitude inexplicable qui fait qu’un et un font deux.

La vie à deux n’est pas tous les jours facile, loin de là, mais on s’est promis d’être honnête l’un envers l’autre jusqu’a notre dernier souffle quoi qu’il arrive. Des tempêtes on en a déjà passé et on en passera encore, le principal c’est qu’on reste soudé comme les doigts de la main et qu’on a décidé de regarder ensemble dans la même direction. On aime sans limite, on donne a en perdre la raison, on a le même reflet dans le miroir. On comprend nos silences, on est excessif en tout. A la maison comme au travail on est pareil. Tu es mon amour, mon ami, le père de mes enfants, l’homme de ma vie.

Mademoiselle Lilly , couleur pomme d’amour

J’avais à nouveau envie de faire du rouge, de faire un  thème « passion », dans ma saga « Mademoiselle », Lilly a enfin vu le jour.

J’ai joué avec les froufrous, la microfibre, les rubans, ce thème est comme « la pomme » à croquer.

Toujours dans un esprit boudoir, les matières s’entrelacent, les volants se superposent, mes pièces phares seront sûrement un bodystring, au mille et un volant et au laçage interminable ainsi qu’une nuisette voire une soutane opaque digne de Sofia Loren.

Ah, Sofia, diva des années 50. Souvenez-vous « pane, amore e fantasia », Sofia Loren portait une robe en satin rouge. Ce thème reste encore à l’image des années 50 : chic et glamour.

J’ai envie d’une nuisette corbeille, où le decolleté se dessine comme un plateau de fruit, juste au corps ou je pourrais y apposer des kilomètres de fronçage rouge pomme.

On y va ? Croquons la pomme…

 

 

 

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